Mensurations sur mesure pour un corps harmonieux

Chère amie, cher ami,

Il existe, chez les hommes et les femmes des constantes de proportions.

Que vous soyez originaire de Papouasie, du Congo ou de Potossi ; que soyez Massai, Iroquois, Pygmée ou descendant des Huns ; cette loi naturelle s’applique à vous. Nul n’y échappe.

Votre culture, vos mœurs ne changent rien à l’histoire. Il existe une silhouette androïde pour les hommes, une silhouette gynoïde pour les femmes.

Et cela va même plus loin.

Il existe, ce que l’on appelle, le “corps harmonieux”.

Je ne suis pas en train de parler du concours de Miss France ou de Monsieur Muscle.

Cela n’a rien à voir avec une norme rigide qui définit les canons de beauté. Du reste ceux-ci évoluent au gré des époques, des mœurs et de l’influence des publicitaires…

Non, c’est un système de rapports, de proportions entre vos différentes mensurations, établi par les Drs Jacques Moron et Didier Panizza, médecins nutritionnistes, spécialiste, du poids.

Dans leur travail, “l’harmonie du corps” n’a rien à voir avec une esthétique quelconque. Il s’agit d’un critère de santé.

Le corps harmonieux est celui dont les proportions permettent le meilleur fonctionnement possible.

Il existe, en effet, une corrélation entre les proportions de votre corps et ses “performances” métaboliques.

Le corps d’un athlète est “taillé” par les entraînements. Au fil du temps, il s’adapte à la discipline que le sportif lui demande de pratiquer.

De même, il existe un corps “taillé” pour bien fonctionner. Ce qui est étonnant, c’est qu’il existe de grandes constantes dans ce domaine.

La très grande majorité des corps a besoin de suivre ces constantes pour que fonctionne au mieux son métabolisme.

Pour connaître vos mensurations et avoir une idée du décalage éventuel entre le corps harmonieux et le vôtre, il faut prendre des mesures.

Le Dr Panizza propose une méthodologie bien précise qui n’a strictement rien à voir avec les prises de mesure en vigueur sur les podiums ou dans les concours de beauté…

Les sept mesures de mon corps

Vous souhaitez connaître vos vraies mensurations ?

Il y a sept mesures clés à prendre. Alors allons-y, à votre mètre ruban.

  • Commençons par le haut du corps et le bassin.

Mettez-vous debout et commencez par le tour de poitrine. Calez le mètre au creux des aisselles.

Ne prenez pas en compte le volume des seins. Bonnet A, bonnet B, C, D, F ou G n’a aucune incidence. La mesure se fait légèrement au-dessus de la poitrine.

Passez à la taille. La mesure est prise là où l’on voit le tour de taille.

Enfin, mesurez le bassin. On mesure le bassin bitrochantérien. Pour savoir où passe la bonne “ligne”, il faut trouver l’endroit où l’on sent le relief des fémurs. Mesurez.

  • Poursuivons avec le bas du corps.

Cette fois, installez-vous en position allongée. Prenez les mesures du haut des cuisses, à la racine des membres.

Prenez ensuite, la mesure de la mi-cuisse à 20 centimètres au-dessus de la pointe inférieure de la rotule.

Descendez-encore pour mesurer le tour du mollet à 10 centimètres au-dessous de la pointe inférieure de la rotule.

Vous arrivez au bout de votre investigation. Il reste une mesure : le tour de cheville.

Hommes et femmes : des corps harmonieux différents

Il existe des constantes dans le corps harmonieux féminin et masculin :

Dans l’idéal, chez les femmes :

  • le tour de bassin ne doit pas dépasser de plus de 5 cm le tour de poitrine ;
  • le tour de taille doit être de 30 cm inférieur au tour du bassin ;
  • le tour du haut de la cuisse doit être inférieur de 10 cm au tour de taille ;
  • la mesure du mollet est inférieure de 11 cm à la mesure du haut de la cuisse ;
  • la mesure du tour de la cheville est inférieure de 11 cm à celle du tour du mollet.

On ajoute, par ailleurs 1 cm de tour de taille par grossesse.

Il existe aussi des proportions idéales chez les hommes :

  • le tour de poitrine doit être supérieur de 15 cm au tour de taille ;
  • le tour de taille doit être inférieur de 10 cm au tour de bassin.

Toutes ces mesures sont des limites supérieures. Elles peuvent varier légèrement.

Chez la femme, le bassin peut-être plus étroit par exemple. Chez l’homme, les mensurations peuvent être plus importantes en raison du développement de la musculature.

Ces mesures sont oubliées aujourd’hui. Les magazines de mode et de beauté travaillent sur des modèles féminins de plus en plus androïdes.

On demande au mannequin d’avoir un tour de poitrine supérieur au tour de bassin. En réalité, si ces femmes ont des enfants, cela peut s’avérer dangereux. Un tour de bassin trop étroit n’est pas adapté à la grossesse et à l’accouchement.

La perte de l’harmonie

Lorsque vous grossissez, la graisse se dépose dans différents endroits du corps. Votre corps petit à petit perd sa proximité avec ces constantes de mensuration.

Certains hommes prennent de la “brioche”. Le ventre se distend et s’arrondit.

Certaines femmes grossissent des cuisses et uniquement des cuisses.

Si les graisses se mettent dans les fesses, dans les cuisses ou dans le ventre, c’est pour une raison bien déterminée.

C’est parce qu’il existe dans votre corps un dysfonctionnement spécifique qui provoque une accumulation de graisses à cet endroit précis.

C’est ce dysfonctionnement qui fait que petit à petit, vous perdez le corps harmonieux que vous n’auriez pas dû perdre et que vous devriez pouvoir retrouver.

Pour cela, encore faut-il comprendre ce qui chez vous dysfonctionne.

Cela change d’une personne à l’autre.

Pour autant, le Dr Didier Panizza et le Dr Jacques Moron avant lui ont établi une cartographie des graisses.

Ce travail permet de savoir dans le détail comment et pourquoi vous prenez du poids.

Surtout, il permet de savoir comment vous pourriez remédier à ce problème.

Si le sujet vous intéresse, n’hésitez pas à nous le faire savoir ci-dessous.

Vous recevrez une série de lettres gratuites qui vous donneront davantage de détail sur la manière de procéder du Dr Panizza.

Cette information inédite ne sera envoyée qu’aux personnes inscrites.

Pour en faire partie, rendez-vous ici.

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Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

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